L’AMU est dans sa phase pilote avec la prise en charge des indigents dans quatre régions du Burkina Faso. Elle prévoit passer à un autre volet d’ici l’année prochaine. Pour le directeur adjoint de CNAMU, Sondé Auguste Coulibaly, cette solution vient à point nommé.

« L’AMU est en phase d’implémentation au Burkina Faso. Nous sommes en train de réunir tous les ingrédients nécessaires pour commencer le volet assurancielle. Quand on démarre une politique publique d’une telle envergure, il serait bien de commencer avec zéro papier. Cette solution va nous aider dans ce sens », affirme-t-il.

Pour M. Coulibaly, cette solution est bénéfique à plusieurs égards. « Il permet d’économiser du temps, des moyens et surtout, elle favorise l’inclusion financière et sanitaire », a-t-il ajouté.

Au sortir de cette audience, la délégation de la CNAMU s’est dite satisfaite du fait que ses préoccupations aient été prises en compte. Elle promet entrer en contact avec les porteurs du projet pour un éventuel partenariat.

DCRP/MFPTPS