Accompagné par son directeur de Cabinet, Fousseni Kindo, M. Ouédraogo est venu rendre une visite de courtoisie au ministre d’Etat. Selon le président du CSC, il est normal pour lui de rendre cette visite de courtoisie au ministre d’Etat, un aîné, mais aussi, en tant que premier responsable du département en charge des ressources humaines, afin de lui témoigner sa disponibilité et saluer la qualité du travail abattu.

A l’entendre, le combat engagé par le gouvernement a besoin d’être soutenu en matière de communication et à ce titre, le CSC a un rôle à jouer. « Nous voulons demander votre accompagnement pour une instance de régulation moderne qui puisse répondre aux défis du moment », a indiqué Wendingoudi Louis Modeste Ouédraogo. Pour ce faire, il a laissé entendre que son institution a besoin de l’aide du ministère en charge de la Fonction publique en terme de conseil et d’experts pour la gestion du personnel.

Le ministre d’Etat, Bassolma Bazié, a félicité son hôte du jour pour sa nomination à la tête du CSC dans ce tournant décisif de l’histoire du Burkina Faso. Pour lui, cette nomination, au-delà de la confiance, est une invite au sacrifice pour l’atteinte des résultats.

Il a rassuré M. Ouédraogo de sa disponibilité à l’accompagner pour la réussite de sa mission. « Au nom de la continuité de l’Etat, c’est un devoir de nous assister mutuellement », a confié le ministre d’Etat.

Au terme des échanges, le président du CSC a remercié le ministre d’Etat pour ces échanges fructueux. Wendingoudi Louis Modeste Ouédraogo, précédemment vice-président, a été porté à la tête du Conseil supérieur de la communication en remplacement de Idrissa Ouédraogo, le 31 juillet 2024.